« Si l ‘on se préoccupait trop de l ‘achèvement des choses,
on n ‘entreprendrait jamais rien. »
François 1er
Notre domaine :
Une aventure familiale sur quatre générations :
Le Domaine Val des Bruyères est situé à Neffiès, dans l’Hérault, au nord de Pézenas. Notre propriété viticole appartient à la famille Bardou qui a su faire grandir l’exploitation depuis quatre générations de vignerons audacieux et novateurs.
C’est Léon Bardou, originaire d’une famille de paysans tarnais qui s’installe à Neffiès comme boucher après la Première Guerre Mondiale. Il achète quatre hectares, les premières parcelles de vigne.

Son neveu, Gaston Bardou : instituteur de formation, prisonnier pendant la Seconde Guerre Mondiale prend la succession tout en étant journalier agricole.

Il renonce à sa fonction d’instituteur et préfère le statut de journalier agricole, mieux valorisé économiquement à cette époque.
Gaston apporte les premières évolutions mécaniques et phytopharmaceutiques sur les terres.
Personnage innovateur et précurseur, son niveau d’instruction et sa curiosité l’amènent à s’impliquer dans la vie communale et dans le système des caves coopératives
Christian, le fils de Gaston, arrête ses études dès la 3ème et intègre la petite exploitation qu’il n’aura de cesse de développer, passant de six à cinquante-cinq hectares.
Cet autodidacte aventurier, père de deux enfants : Philippe et Christine, présidera la cave coopérative de Neffiès pendant 20 ans. Il participera à la naissance de l’AOP Languedoc et développera le vignoble de Neffiès par des défriches.

Philippe Bardou rejoindra son père sur l’exploitation en 1993 après une formation en viticulture et œnologie.
Stéphane Martin, son beau-frère, viendra consolider et agrandir le domaine du Val des Bruyères en 1996.

Christian part à la retraite en 2007. Mais il est toujours là, attentif et donnant son avis sur les évolutions de l’exploitation.
Une terre chargée de 2000 ans de viticulture :

Des fouilles réalisées sur une parcelle du domaine avec l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) et le CNRS (Centre national de recherche scientifique) ont permis de trouver les restes de 4 fours à poterie à amphores du 1er siècle.